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Christelle PASQUET

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Mobile :

06 31 44 99 10

Mes tableaux ? Ce sont des petites mécaniques nocturnes, des espèces de machine infernales qui lorsqu’on les regarde se mettent à vous raconter des histoires à dormir debout !

Dans ma pratique, j’utilise les techniques mixtes, elles offrent des possibilités sans cesse renouvelées, elles permettent  aussi de détourner et de s’approprier  les savoirs faire. La toile est marouflée puis peinte à l’acrylique. Ensuite les feutres, les encres, les crayons de couleurs, les fils et la ribambelle de petits objets et de matières hétéroclites se mettent au travail. Un univers foisonnant voit le jour au fil des histoires posées sur le tableau. Les différentes  textures, matières et  coloris délicatement choisis sont collés, cousu,  noué, superposés en  couches. En s’approchant on discerne de la soie peinte, de la laine bouillie, de la dentelle, de minuscules joujoux démembrés, des graines, des éclats de miroir, des bijoux de pacotille etc…En somme, la matière et la couleur sont le lien unificateur de cette diversité. L’esprit de mes tableaux est celle d’un univers fantasque et poétique, bouillonnant, onirique, pétri d’une douceur grave et légère. Ils expriment la nostalgie d’un monde perdu, la part du songe et la liberté de la pensée. 

Christelle Pasquet

« Dans les tableaux de Christelle Pasquet, l’espace se déploie à l’infini, sans ligne d’horizon ni toute autre forme de cloisonnement ou de limite. Et il est bigrement peuplé. Des créatures pacifiques évoluent silencieusement, les yeux grands ouverts. Leurs corps s’enchaînent en cascades douces et légères, parés de mille décors délicats, inspirés par tous les folklores du monde. Hiboux, cailloux, genoux… Des babouchkas plutôt russes effleurent des masques relativement africains. Un monde dentelé, fleuri, étoilé, n’en finit pas d’être révélé. De tendres barbus offrent là leur cœur à des paons ou à des sirènes, des dieux indiens se reposent sous la protection bienveillante d’animaux couronnés. Les chats arborent des poitrines de nymphes, des ailes de colombes et des renards bons pour le carnaval de Venise. Tout autour les grigris et graines pullulent, en guise d’allégories de la protection et de la fertilité. Les chevelures sont dénouées, les pieds, nus, et les titres des compositions, poétiques. Il était une fois Christelle Pasquet. Elle nous convie au paradis. Pourquoi diable ne pas nous y attarder ? »

Françoise Monnin, rédactrice du magazine Artension

pour la préface de l’ouvrage Christelle Pasquet, la princesse tombée du tableau.

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